トマトの記憶

祖父母の家に着いた時の最初の楽しみは、決まって、庭にはびこる蔓からミニトマトとトマトをもぎ取ることだった。


Alors que ce n’est pas de dire que j’aime spécialement la tomate comme aliment, j’ai beaucoup de souvenirs qui la concernent. Quand j’étais enfant, la primière joyeuseté après notre arrivée chez mes grands parents du coté paternel était toujours de arracher de petites tomates et grandes tomates de sarments qui rampaient contre les murs de la maison. Mes grands parents, quand ils savaient que moi et ma famille, nous allions eux visiter bientôt, ils laissaient intactes toutes les tomates jusqu’à notre arrivée, pour que moi, j’aie pu m’amuser à en arracher dans le jardin. Donc, dès que nous arrivions, j’arrachais quelques tomates mûres que les yeux enfantins saisissaient. Bien que la plupart en était de petites tomates, j’ai trouvé quelquefois de grandes tomates. J’ai éprouvé alors une joie singulière, comme si j’avais trouvé une coffre qui contenait un trésor entre les sarments. C'était également amusant de distinguer les mûres et les vertes. Les tomates qui sont mit dans une corbeille ainsi étaient portées dans la maison mignonne et étaient mangées par la famille, quand c’était drôle que je moi-même n’en mangeais pas beaucoup. Je trouvais vraiment le tout très agréable.


Comme susmentionné, ce n’est pas le cas que j’aime spécialement la tomate. Parce que je n’aime pas tellement l’acidité, chaque fois que je mangeais de petites tomates j’en remplissais la bouche et en conservais longuement comme un écureuil. Souvent, je mangeais de petites tomates quand je me couchais pour dormir. Alors, je refusais de même de les mâcher, et dormais quelquefois des tomates retenues dans la bouche. Une fois, une petite tomate que j’avais contenue dans la bouche n’y s’est plus trouvée quand je me suis réveillé le matin. Alors que ma mère rire chaque fois qu’elle fait mention de cet événement, moi, y réfléchissant, je pense que c’était dangereux. A part cela, il y avait une sensation agréable pendant que j’avais une ou deux petites tomates dans la bouche. Quoique c’était comme si on m’avait accordé délai avant de les mâcher, il n’était jamais le cas que je n’aimais pas manger des tomates. Après les avoir eu coupé d’un coup de dents, je pouvais accepter facilement de les goûter adéquatement. Il me fallait beaucoup de temps pour vider la bouche, pourtant.


J’ai en mémoire ma mère qui, quand je mange de grandes tomates, prenait de morceaux d’une tomate quelques parties qui contenaient un suc et des pépins qu’elle portait avec une cuillère jusqu’à ma bouche pour que je les aie mangé, parce que j'aimais moins manger la tomate alors. Je crois que je mangeais aussi les pulpes par la suite. En tous cas, il semble que de tels événements se sont arrivés souvent à Tokushima. Comme une expérience pareille que j’ai à Tokushima, je me souviens que ma mère a essayé de déguiser quelque aliment que je n’aimais pas manger (je ne me souviens pas quoi) par l’enrouler dans un kim pour que j’aie eu envie de le manger, en disant «il s’est habillé !». Kim était sûrement ma nourriture préférée, mais j’étais assez sage pour pouvoir savoir que la nourriture que je n’aimais pas s’était cachée dans le kim et il était dépourvu de sens (il paraît que ma mère parfois s’est moquée de moi de cette façon). Tout de même, pour la raison inconnue, j’ai finit par accepter la cuillerée selon les mots d’elle. C'est une mémoire vague. Je doute que ma mère s'en souvienne.